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Pokemon GO : comment les entreprises peuvent en profiter ?

Attendu en France avec impatience, Pokemon Go profite d’un énorme engouement populaire qui dépasse de très loin les attentes de ses créateurs. Avec plus de 30 millions de téléchargements ce succès qui oscille entre véritable phénomène de société et grand n’importe quoi, a d’ores et déjà révolutionné les codes de l’Urban Gaming. A ce petit jeu, devenu gigantesque, comment les marques et les institutions comptent surfer sur la vague ? Entre opération de communication et rentabilisation de l’espace, zoom sur celles qui ont déjà pris les devants

Monoprix

Sur simple présentation de l’application l’enseigne propose aux chasseurs de Roucoul de venir récupérer un kit de ravitaillement au sein d’un espace entièrement dédié, le « Pokémonop ». Au menu : une eau vitaminée Well, une barre de Kellogg’s, une crème solaire La Roche Posay, un brumisateur et des pansements pour ampoules.

Derrière l’opération de communication concocté avec l’Agence Rosarpark, se cache un partenariat qui constitue l’une des principales sources de revenus pour l’éditeur du jeu. Une « labélisation » de lieux susceptibles d’accueillir de multiples joueurs en quête de créatures virtuelles.

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Rouen

Avec des milliers de mobinautes arpentant les rues les Villes ont, elles aussi, une énorme carte à jouer. Les « Pokéstops » qui facilitent la progression des joueurs dans l’aventure, se trouvant principalement à proximité de lieux artistiques et de monuments, c’est là une occasion unique d’attirer le grand public.

La Ville normande ne s’y est pas trompée en proposant aux joueurs de profiter de leurs chasses pour découvrir Rouen et sa Vallée de Seine. Une Google Maps recense ainsi les principaux monstres disséminés sur le territoire et l’Office du Tourisme c’est officiellement mué en « Pokéstops ». Histoire de convier les joueurs jusqu’en son sein.  

 

Japon

Si cette stratégie basée sur la géolocalisation est une espèce rare dans l’hexagone, la filière japonaise de Mc Donald’s n’a pas hésité à nouer un vrai contrat de sponsoring avec Nantic, l’éditeur de Pokémon GO. 400 de ses 2.900 restaurants sont ainsi recensés comme des « gyms » où les joueurs viennent se combattre virtuellement et récupérer divers objets à télécharger, parfois payants, indispensables pour progresser dans le jeu.

 

 

A défaut de convaincre les commerçants d’intégrer des mécaniques identiques (Swarm, Foursquare), Pokemon GO est peut-être l’occasion de réconcilier entreprises et mobilité. Il faudra pour cela ouvrir ses portes et sa communication avant la rentrée. L’hiver risque d’être nettement moins propice aux périodes de chasse.

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