Pourquoi mettre son C.M dehors !
Par ce temps il ne doit probablement pas faire bon mettre un community manager dehors. L’animal nourri aux gifs animés sait – il d’ailleurs utiliser le mot « social » autrement que dans un C.V ? Appelons cela comme on veut, mais l’une des missions de l’animateur de communautés est pourtant bien d’investir le terrain comme autant d’opportunités de créer du lien. Puisse t’elle être ultra – connectée, la société est en effet en recherche permanente de points de rencontres. Forcément plus naturels et forcément plus humains.
Si n’importe quel CM normalement constitué saura quoi faire de ses deux bras une fois sur place, le prospect doit pouvoir en mesurer les tenants et les aboutissants.
Pour créer des contenus
Salon, rencontre, présentation de produit, conférence … La raison n’est finalement qu’un accessoire comme un autre pour générer de la matière. Que ce soit à partir de photos plus ou moins travaillées ou de mots plus ou moins condensés en 140 caractères, le terrain n’a finalement de limite que la durée de l’événement.
Sur Twitter
Le réseau le plus évident pour générer un contenu factuel, permanent et facile à mettre en place.
✓ Enrichir sa base de followers. Twitter pouvant tout aussi bien fonctionner comme une carte de visite.
Sur Instagram
Le réseau le plus fédérateur pour valoriser un lieu et un produit.
✓ Au delà des hashtags, la géolocalisation des photos est souvent sous estimée. Même pour les marques les plus aguerries. L’outil qui fonctionne souvent en différé chez l’utilisateur est pourtant un générateur d’interactions non négligeables. Quelque soit le temps écoulé.
Sur Facebook
Canal plus « lent » dans son utilisation quoiqu’on en dise, il faudra donc prendre le temps nécessaire de fabriquer un contenu plus abouti pour Facebook. A base de photos / montage notamment.
✓ Ajouter un album récapitulatif de l’événement mais également un Moment Clé dans l’historique de la Page.
Pour rencontrer …. et vendre
Commercial comme un autre, le community manager ne doit pas être le premier rempart de la marque par défaut. Si l’évangélisation est l’une de ses missions celle – ci doit pouvoir se prolonger naturellement sur le terrain.
– En maîtrisant les argumentaires de l’enseigne représenté. C’est évident.
– En déployant la cartographie des réseaux de l’enseigne. Une dimension parfois méconnue par les clients les plus connectés.
– En questionnant le prospect sur son rapport à la connaissance et à l’actualité de la marque. Quelques réponses pouvant souvent servir à ajuster sa stratégie en ligne.
Pour enrichir sa base de données.
A la rencontre et à l’échange de cartes de visite, on pourra tout aussi bien préférer l’enrichissement de sa base d’utilisateurs. Et plus particulièrement celle d’une newsletter. Si l’activité n’entre pas forcément dans le registre des activités d’un community manager, ce dernier devra toutefois s’assurer de sa mise en place mais surtout contribuer, tout au long de sa présence, à accroître ce listing.