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L’INFO PASSE PAR LES RESEAUX

C’est un phénomène qui couvait depuis bien longtemps mais Pew Research lui donne aujourd’hui une dimension chiffrée. 67% des américains s’informent désormais sur les réseaux sociauxLa progression est particulièrement forte chez les personnes « moins éduquées » (60% en 2016 vs 69% en 2017) et les « minorités ». + 10 points chez les « non Blancs ». 

Sans réelle surprise 45% des adultes privilégient  le mastodonte Facebook. YouTube (18%), loin d’être positionné sur le créneau de l’actualité, arrive en seconde position. Suit Twitter (11%) et dont l’influence progresse chez ses propres utilisateurs. Le réseau à filtres et stories Instagram informe 7% de ses utilisateurs. 2 points de plus que Linkedin. Devenu aussi important que … Snapchat (5%).

Si la télé n’a pas dit son dernier mot, la défiance à l’égard des médias traditionnels pose désormais question sur la nature de cette information consommée. En captant 54% des utilisateurs le Groupe Facebook (Instagram, WathsApp) est même en situation de monopole. La candidature de Mark Zuckerberg à l’élection américaine de 2020 annonce dores et déjà de violentes polémiques. Sur fond de complots et de démocratie en sursis.  

Voir l’étude complète 

 

CHATBOT

Le Chatbot est la mode mais savait vous vraiment le mettre en place ? C’est pour répondre à cette question que l’Agence Conversationnel dévoile une infographie complète sur  « les 10 règles à suivre pour constituer votre Chatbot ». Parmi celle-ci nous retiendrons :

  • La découpe de la conversation en plusieurs blocs de texte pour donner l’illusion d’un véritable échange. 
  • Créer un temps d’action d’environ 3 secondes pour, encore une fois, conserver cette dimension humaine de l’interaction.
  • Anticiper les détournements (Blagues, déclarations d’amour, insultes …) pour éviter de confiner votre robot dans un hors-sujet ridicule. Voir pire.  

 

IOS 11

Avec l’arrivée en grande pompe du nouvel Iphone, se dessine en coulisse la mise à jour du logiciel d’exploitation d’Apple : l’IOS. Car si l’enveloppe de la promise est ravissante, il lui faut toute la puissance d’innovation de la firme de Cuppertino pour lui offrir une véritable destinée. C’est en tout cas la promesse de la version 11. Revue de détails des nouveautés :

  • Notes

Pour conserver la trace d’un document, la fonction Notes aussi basique qu’un Post-It va se voir ajouter une fonctionnalité scanner et d’y ajouter des annotations. 

 

  • Quicktype

Un café dans une main, un Iphone dans l’autre. Voilà une gymnastique qu’Apple souhaite corriger avec sa fonction QuickType qui va instantanément rapprocher les touches de votre pouce.

 

  • Photo

Des portraits plus expressifs et des tons chair plus naturels. La version 11 de l’appareil photo annonce du mieux dans sa qualité mais également des « Boucles », des « Rebonds », des « Poses Longues » pour davantage de créativité. 

 

  • Réalité augmentée

La réalité augmentée fait sa révolution avec l’iOS 11. Les premiers essais dévoilant « ARKit » ont pu permettre d’avoir un avant-goût de cette technologie développée par Apple. Disponible à partir de l’Iphone 6S, cette fonctionnalité doit entamer les négociations avec de nouveaux usages. De l’ameublement au jeu, la guerre est en tout cas déclarée contre l’ARCore de Google. 

 

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JOBS FACEBOOK

On connaissait la pertinence de Workplace. Un super intranet qui permet aux entreprises d’engager l’ensemble des collaborateurs avec toute la facilité d’usage de Facebook. Avec la fonctionnalité « jobs », le réseau social veut s’ouvrir à la diffusion des offres d’emplois. Si la fonctionnalité est encore en phase de test, elle se déploiera tôt ou tard sur l’ensemble des Pages. Le réseau étant déjà régulièrement utilisé par les professionnels pour partager leurs annonces. Avec cette option, Facebook fait un pas de plus dans la cour des réseaux professionnels. Peut-il pour autant s’adjuger un rôle de leader dans la recherche d’emploi ?

OUI

Adossée à son offre publicitaire et son milliard et demi d’utilisateurs, Facebook permet de garantir une diffusion massive et très précise. Quand Linkedin met souvent 24h00 à valider un simple post sponsorisé, la puissance de Facebook peut vite se transformer en promesse de résultat. Au delà de la demande initiale, une entreprise sera également en mesure d’engager un maximum d’internautes autour de sa marque. Les fonctionnalités de la plateforme étant complètement adaptées au « partage » de l’information.

PEUT-ETRE

Monster, Le Bon Coin, Linkedin, Viadéo … le business de l’emploi est un marché éclaté dans une myriade de sites et d’applications. La fonctionnalité « Jobs » va devoir se confronter à des usages confortablement installés avant de pouvoir espérer en créer de nouveaux. Certaines entreprises ayant une utilisation limitée de leur Page professionnelle, elles pourraient même ignorer la fonction.

BOF

Contrairement à ses concurrents, les frontières entre vie privée et vie professionnelle sont souvent poreuses sur Facebook. Un grand nombre d’internautes pourraient être réticents à l’idée d’utiliser leur profil personnel pour s’engager auprès d’une entreprise. En répondant à une annonce diffusée par la fonctionnalité « Jobs », un internaute va t’il offrir un accès aux détails de son compte ? Des questions auxquelles Facebook devra apporter une réponse. Pire, la « valeur » des candidats peut-elle être aussi intéressante que sur des plateformes spécialisées sur la valorisation des compétences ?

 

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SALAIRES DU DIGITAL

Combien coûte un expert du digital ? PageGroup s’est penché sur les salaires de ces professionnels avec une retenue sur les chiffres qu’il faut avant tout souligner. La toile se faisant souvent l’écho de drôle de fantasme sur ce sujet. L’étude du chasseur de tête s’appuie elle sur des missions réalisées en 2015 et 2016, des entretiens effectués avec de futurs candidats et sur une analyse de données complémentaire. Dès lors, quels enseignements en tirer ?

Comme s’ils étaient voués à disparaître, les « vieux » métiers du web (Graphiste, Webmaster) se partagent le bas de l’échelle. Avec pour les premiers une rémunération en baisse qui devrait les interpeller. Les rédacteurs web peuvent quant à eux profiter d’une forte demande en contenus pour revoir leur prétention salariale à la hausse. Comptez ainsi de 30 à 35K pour un digital content manager ayant acquis au moins 2 ans d’expérience. Mais c’est bien du côté du parcours client et de l’analyse des données (UX Designer, Data Scientist) que l’on trouvera les salaires les plus attractifs. En début de carrière, ils seront ainsi 1,5 fois plus important qu’un community manager.

Pour les entreprises qui se lancent sur le web, cette compilation de chiffres reste un indicateur sérieux mais insuffisant. L’intégration de compétences techniques n’étant jamais une réponse stratégique appropriée, il faudra une nouvelle fois se poser les bonnes questions :

  • Suis-je capable d’identifier mes besoins en termes de transition numérique ?
  • Quels sont mes objectifs et mes cibles ?
  • Dois-je recruter et former quelqu’un ou existe t’il des solutions externalisées ?

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STEVE JOBS

Apple s’est promis d’éclairer l’histoire d’une manière ou d’une autre et pour sa dernière tentative, la firme à la pomme est une nouvelle fois passée par la publicité. Son dernier spot qui met scène le Mac Book Pro est un hommage qui suit les grandes révolutions de l’humanité (écriture, agriculture, télévision …) jusqu’à l’avènement de sa toute nouvelle gamme. Brillant comme tout ce que sait produire le géant, il vous en coûtera au moins 2000€ pour pouvoir découvrir la surprenante touche tactile. Lumière sur cette nouveauté en 1 minute 37.

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Attendu en France avec impatience, Pokemon Go profite d’un énorme engouement populaire qui dépasse de très loin les attentes de ses créateurs. Avec plus de 30 millions de téléchargements ce succès qui oscille entre véritable phénomène de société et grand n’importe quoi, a d’ores et déjà révolutionné les codes de l’Urban Gaming. A ce petit jeu, devenu gigantesque, comment les marques et les institutions comptent surfer sur la vague ? Entre opération de communication et rentabilisation de l’espace, zoom sur celles qui ont déjà pris les devants

(suite…)

Les fintechs ont un langage commun de principe : la désintermédiation. Derrière ce néologisme se cache en réalité la volonté de court-circuiter les banques en proposant de nouvelles offres financières. Paiement mobile, financement d’entreprise, épargne … le secteur qui n’a même pas 5 ans d’existence repose déjà sur un matelas de plus de 12 milliards de dollars à l’échelle mondial.

Si la France reste encore à la traîne derrière l’Angleterre et les Etats-Unis, la croissance des investissements (+200% en 2014) suggère tout le potentiel qui, loin de se tarir, n’a pas pour autant bousculé les acquis des acteurs historiques.

A la table des négociations, il faut en effet croire que « l’Uberisation » promise n’aura pas lieu ces prochaines années. Soutien financier, maîtrise d’une réglementation contraignante, richesse de la base client, le kit de survie de la jeune pousse fintech oblige déjà certains à repenser leur concept. Quitte à remettre en cause cet adage qui promettait de faire « sauter la banque ».

Pour autant, cette consolidation du secteur qui s’amorce ne saurait reposer que sur la seule volonté des banques d’investir dans de nouvelles innovations. Ces dernières, portées aux nues, ne feront surtout sens que lorsqu’elles dépasseront la simple boite à outils pour devenir des usages à part entière. Aussi et comme pour toutes les révolutions annoncées, le consommateur-internaute conserve encore et toujours un fort pouvoir de décision. 

La disruption étant désormais un bien commun, la solidité et la qualité de l’offre pourraient même, dans un avenir proche, bien mieux résister que certaines technologies. Comme celle d’ActiveSeed. Qui a pleinement mûri son concept depuis de nombreuses années au contact de milliers de clients. Cette toute nouvelle start-up fintech a ainsi parfaitement su intégrer la force de son message à la force du digital

Loin d’être une énième addition de produits financiers, son offre qui se présente sous la forme de villages thématiques (Assurance vie, PEA, retraite …) intègre pleinement le conseil, la simulation et l’anticipation des risques au cœur même de son concept.

Issu de l’expertise d’Alpinia Finance et de l’expérience de ses fondateurs, ActiveSeed reste un gage de sérieux et d’indépendance qui parle ouvertement d’argent. Offrant à toutes celles et ceux qui ne le croyaient plus, la possibilité de reprendre le pouvoir sur leur épargne.

« La volatilité des réseaux nous aura appris au moins une chose. Rien n’est plus certain que la remise en cause. A défaut d’être « cool » comme dirait Mark Zuckerberg, la nouvelle offre de BOXSONS misera ainsi sur la clarté. « Stratégie – connaissance – réactivité », nous pensons en effet que l’avenir des réseaux sociaux repose sur un triptyque aussi limpide qu’enthousiaste. Ainsi la gestion de vos contenus en ligne ne trouvera de sens que si elle s’assume dans une véritable stratégie de développement.

En 2015 la connaissance de vos publics ne sera donc plus un paramètre mais carrément une trousse de survie en zone de turbulence. Les contenus seront toujours livrés avec une histoire. Parfois ils auront même le goût des autres. Le détournement deviendra ainsi un art de séduction massif et la caisse de résonance de la toile tournera ainsi à plein régime.

En 2015 l’apparente complexité des réseaux vous apprendra au moins une chose. Rien n’est plus certain que la communication. A défaut d’ête « cool », la parole que vous prenez doit être claire. Pour tout le reste, nous vous invitons à monter sur le ring.  »

 

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Hyperlapse par Instagram

Nous n’attendions pas forcément Instagram à ce stade de développement. Loin d’avoir monétisé son concept, le joujou à filtres de Facebook  fait de nouveau le pari de la vidéo en lançant sa nouvelle application, Hyperlapse. Jolie et intuitive, cette solution propose la réalisation de time – lapse en stabilisant et en accélérant les captations faites depuis un mobile. Si le support est alléchant malgré quelques bugs, il soulève quelques interrogations stratégiques :

– L’application Instagram n’était – elle pas en mesure d’héberger elle même la solution ? Quid de la solution vidéo qui devait couper l’herbe sous le pied de Vine ?

– Après Facebook et Messenger, Foursquare et Swarm, la duplication des applications est – elle une stratégie viable pour un usager aux pouces multi – sollicitées ? 

– Manque de temps, manque de fluidité technologique, faibles interactions … La vidéo correspond t’elle vraiment à la « prise en main » d’Instagram ? 

 

hyperlapse application instagram

 

 

 

Lidl marque premium ?

On avait abandonné Lidl sur des palettes de bois avec une photo de Zidane en portrait de Pape nous martelant qu’il adorait nous faire gagner. On retrouve au détour d’une information la marque au logo jaune et bleu dans une surprenante stratégie premium qui aurait débutée, selon la légende, il y a désormais 2 ans. Partenaire des Journées du Patrimoine, Lidl tente d’accentuer son positionnement via un « sourcing produit à 70% made in France » selon son responsable communication Nicolas Calo. Si la volonté est bonne sur la terre comme au ciel, on doute de la transformation de l’essai à l’échelle du consommateur. La communication en ligne n’en est – elle pas un échantillon parfait ? Une stratégie sociale moyenne (photos, likes, interactions). Des supports médiocres (site, réseaux) et un discours d’ensemble convenu. Gageons que Lidl puisse avoir conscience que cette stratégie doit pouvoir irriguer un ensemble pour être entendu (Produits, employés, supports). A défaut il se pourrait que l’enseigne subisse le même sort que la Principauté d’Andorre. Paradis de la clope et du whisky pas cher, qui se rêvait en « Terre des princes ». 

 

lidl

 

 

Twitter statistiques 

Depuis le lien analytics.twitter.com il est désormais possible d’avoir accès aux statistiques détaillées de votre compte Twitter. Bien plus accessibles que Facebook, les tableaux d’analyses offrent une vision instantanée et extrêmement détaillée des impressions, clics, consultations profil et autres taux d’engagements. Poussé dans ses retranchements suite à des résultats mitigés, Twitter tente depuis quelques mois d’accélérer sa mutation. D’une part en accentuant son accessibilité grand public et d’autre part en multipliant les outils à l’attention des professionnels. Le programme Amplify et ses vidéos sponsorisées étant le dernier né d’entre eux. 

 

twitter statistiques analytics

 

 

Ice Bucket Challenge

De la capacité des hommes à se refroidir on ne voudrait retenir que l’extraordinaire viralité d’un phénomène « peopilisé et multi – récupéré ». Sa puissance est pourtant l’alliance parfaite d’une combinaison rare :

– Quelque chose de simple à réaliser

– Quelque chose de court à montrer.

– Du sens dans le geste.

– Une mobilité génératrice de viralité

– Une accessibilité totale.

– Une déclinaison universelle. De la Palestine à la Côte d’Ivoire. 

Passez l’effet de mode il faudra plutôt se poser la question de son impact et donc de la fiabilité des liens entre le donateur et les associations défendues. Avec + de 2000 % de dons, ce sont plus de 70 millions de $  qui ont été collectés par l’ALS qui lutte contre la maladie de Charcot. Pourtant comme le souligne Jacques Serba, chercheur à l’IRIS, « Le problème du Ice Bucket Challenge, c’est qu’il peut gêner certains donateurs et qu’il peut faire oublier le message ». Car si les codes se transgressent aisément aux Etats – Unis, le vieux continent européen est – il préparé à ce que la sociologue Valérie Gorin aime appeler « La diplomatie des célébrités » ? Soit cette capacité à mobiliser une sphère sociale influente, y compris les patrons, dans un cadre nettement moins convenu que le Téléthon.

Si les organisations humanitaires de l’hexagone ne comprennent pas encore les mots marketing et viralité, le Ice Bucket Challenge désacralisera t’il par l’exemple les comportements. Pas certains selon Valérie Gorin « Nos ONG nouent très peu de partenariats avec les groupes médiatiques et politiques ou avec les célébrités. Elles ont un sérieux travail à faire de ce côté-là. » Don(t) acte !

 

ice bucket challenge

 

 

 

Fortune Tellers – Louis Gaston 

A retrouver sur Scène&Live

 

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=9nFQmpNp2RE]

Sugarprice

 

« La fidélité est une affaire trop sérieuse pour la laisser aux seuls commerçants ».  Selon la légende, c’est en profitant de ce vieil adage remastérisé à la sauce Boxsons que Sugarprice a commencé son aventure. Lancé en version bêta, ce nouveau site de social shopping propose d’obtenir des réductions toute l’année chez des boutiques partenaires, via l’utilisation en caisse de son application mobile dédiée. Mieux que l’achat groupé, le cashback ou encore les ventes flash, le concept du Sugarprice repose sur un abonnement de 1€ par commerce sélectionné. Un premier modèle économique probablement couplé par une commission sur les ventes. Si l’offre ne dépasse pas encore les frontières de la capitale, il faut souligner la cohérence des supports (site et application). Leurs caractères ludiques et la facilité d’usage de Sugarprice. Avec près de 52% des consommateurs avouant ne pas utiliser leur carte de fidélité, l’expérience mobile peut – elle être salvatrice pour les commerces de proximité ? Une question sérieuse à laquelle Sugarprice veut répondre. 

Jusqu’au 09 mai Sugarprice vous fait bénéficier d’une offre gratuite d’essai 

Youtube

 

A force de jouer les chevaliers blancs, Xavier Niel va t’il finir par se fourvoyer ? Revenant sur le conflit l’opposant à Youtube (Google), le patron du fournisseur d’accès à justifié l’absence de bande passante supplémentaire pour une question de coûts qu’il ne souhaite pas répercuter sur ses abonnés.  « YouTube et Google estiment qu’ils ont un tel pouvoir d’attractivité qu’ils vont pouvoir utiliser nos réseaux sans rémunérer l’excès de trafic qu’ils générèrent. Ce qui n’est pas la règle dans le monde de l’Internet». « Si on ne fait pas ça aujourd’hui, les abonnements vont grimper de 5 à 15 euros par mois, juste pour payer le surplus de la bande passante de Google ». Problème : l’estimation d’une augmentation des prix de 5 à 15 euros est sujette à caution. Une dizaine de centimes d’euros par abonné fixe et par mois tout au plus selon l’ARCEP, le régulateur des télécoms. En attendant, les freenautes embouteillés aux heures de pointe pourront toujours se rabattre sur des solutions alternatives. Comme Youtubefree.  Un débogueur de liens Youtube très efficace. 

http://s2.youtube-free.fr/

Publicités

 

Finalement Facebook n’a fait varier son plaisir entre sa communication vidéo sur son milliard d’abonnés et son application mobile « Home » dédiée aux Androïd. Même traitement d’images, même narration. Sobre. Peut – être trop. 

[youtube http://www.youtube.com/watch?v=Lep_DSmSRwE]

Virgin radio revient avec une nouvelle identité. Des codes graphiques et des sons Pop pas forcément originaux mais terriblement efficaces.

[vimeo http://www.vimeo.com/62770946 w=400&h=300]

Oto est allemand et vend de la mode et de l’accessoires. Rien de neuf sauf à se pencher sur sa nouvelle signature vidéo. Chic et glamour avec un final audio qui fond dans la bouche. Tant pis pour la contradiction avec son site internet. Véritable catastrophe graphique. 

[vimeo http://www.vimeo.com/63392590 w=400&h=300]

Love Music

 

Pour son premier grand évènement Boxsons à vu les choses en grand. Un lieu classé monument historique, 14 chanteurs sur scène et de nombreux guests pour saupoudrer l’ensemble. Prouvant sa multiplicité, les actions menées par Boxsons ont permis de recréer un univers original tout en conservant l’esprit d’origine. Pour un tremplin qui existe depuis 12 années désormais. 

Création d’une marque identifiable (LOVE MUSIC). Visuel afficheRedéfinition et participation aux dotations financières. Dossier presse et contact médias. Animation en ligneContact invités, mécanique du spectacle et décor. 

 

Arden – Stay (Rihanna)

 

[youtube http://www.youtube.com/watch?v=M8drFoVMIhs&w=560&h=315]

 

 

Kamasutra du geek

On sait combien les nouvelles technologies nous absorbent et nous contraignent à bien des choses. De là à se ramasser, éventré comme de vulgaires paquets de chips Vico, il n’y avait plus qu’une contorsion à exécuter. C’est ce que souligne Steelcase après avoir observé dans 11 pays différents, 2000 personnes dans le feu de l’action. Au total, 9 nouvelles positions viennent enrichir la panoplie de notre pain quotidien. Ramassé, couché, courbé…l’homme s’est donc inventé des postures et des faire valoir qui peuvent prêter à sourire. On sait pourtant combien les troubles musculo – squellettiques (TMS) peuvent avoir des conséquences à très court terme sur le confort des individus et par ricochet, sur le travail (baisse de productivité, arrêt maladie). Reste à savoir comment les constructeurs peuvent insuffler de bonnes pratiques. Ou plutôt, comment les bonnes pratiques peuvent nous faire reprendre le contrôle sur la technologie.

 

Photo

Le téléchargement de photos de contenus locaux (+10%) accentuerait t’il l’idée d’un repli sur soi ? C’est en tout cas ce qu’affirme Istockphoto dans son dernier baromètre Euro Tendances. Passée à la trappe par l’infoobésité, l’infographie nous en apprend pourtant beaucoup sur les effets de la crise et ses nuances. Quand l’européen privilégie l’humain à 80%, le consommateur asiatique semble nettement moins contraint par ce besoin primaire. Et bien que l’on puisse noter des nuances entre une Espagne shootée aux « fêtes et célébrations » et une France des « loisirs et du divertissement », ses téléchargements de photos singuliers sont – ils des chimères qui masquent les réalités socio – économiques ?

5 chiffres

– Samsung a dépensé 900 000 $ en lobbying rien qu’aux Etats – Unis.

– Europe : 3133 amendements ont été déposés sur le texte de protection de la vie numérique. Autant qu’un débat sur la Politique Agricole Commune.

– Go Pro aurait écoulé plus de 3 millions de son produit phare depuis 2009. 

– 57% des français estiment être davantage sensibilisés qu’auparavant aux stéréotypes sexistes.

– Le genre le plus visionné en télévision de rattrapage est le divertissement (31%).


Myphotoagency

Une agence de photographe avec les outils du web. C’est sur sur ce créneau et après avoir gratté 300 000€ de fonds que MyPhotoAgency à vu le jour. Fondée Sarah Aizenman et Dan Kleczewski, la jeune pousse est donc une place de marché en ligne, où pour la première fois il est possible de montrer, d’acheter, vendre et d’exposer ses propres créations. Et si la démocratisation des smartphones a fait fleurir de nouvelles ambitions, la start – up tient la corde dans sa démarche qualitative. Intuitive comme un réseau social, Myphotoagency s’adresse donc aussi bien aux particuliers (concours, expositions, visibilité), qu’aux entreprises en proposant un vivier de talents pour satisfaire leurs besoins (campagnes, shooting…). 

Timelapse – Fragments of Iceland

[vimeo 40558553 w=500 h=281]

 

Presse and people

Les journaux populaires sont ils compatibles avec le numérique ? Même si l’OJD reconnaît son balbutiement dans la collecte de certaines données, le modèle numérique est loin d’avoir irrigué l’économie de tous les médias papiers. Ainsi, le journal l’Humanité aurait écoulé à peine…4 exemplaires numérique par jour de son journal, lorsque Aujourd’hui en France peinerait à dépasser les 60 exemplaires. A des années lumière de certains journaux américains dont les ventes numériques ont dernièrement compensées les ventes papiers.

Si l’accès aux technologies numériques s’est relativement démocratisé, l’usage du particulier est une donnée bien plus difficile à quantifier. En passant d’un modèle « d’évidence » à un modèle de concurrence, la presse populaire s’est vue confronter à de multiples problématiques, qui vont au bien delà des questions de coûts, de fiscalité et d’engagement de l’état.

– Absence de réflexe de mobilité de ses lecteurs (mauvais équipements mobile, faible téléchargement d’applications médias…)

– Accès à l’actualité sur P.C (plateformes gratuites, time line Facebook, télévision…)

– Concurrence des journaux gratuits.

– Manque de temps et de moyens (trajet maison – travail, équipement technologique tablette, smartphone…)

– Faible accès au web dans les transports en commun.

– Faible transmission des usages de lecture médias à son entourage.

L’addition salée de ses carences souligne l’effort massif que devront rapidement entreprendre ces médias. Lorsque l’on constate la qualité moyenne d’une application comme celle du Parisien (bug récurrent, navigation peu fluide…) via à vis de ses concurrents (Les Echos, Figaro), les sujets de réflexions ne manquent pas. Reste à savoir si après France Soir, cramé par l’excentricité d’un fils à papa, la rubrique nécrologique de la presse ne va pas encore s’allonger.

Banques sociales ?

Les banques qui ont offert le « bouquet mystère » à la crise ont – elles définitivement tournées la page ? En tout cas elles s’y attèlent. Pour preuve, leurs numéros de mimétisme pour ressembler à des banques responsables prouve la volonté manifeste et tout autant accessoire, de replacer l’usager au centre des discussions. On soulignera ainsi le travail intéressant, parfois exemplaire, des petites cellules de community manager recluses derrière des bureaux anonymes et qui portent à bout de bras la communication de leurs boites. LSF Interactive a ainsi mesuré l’engagement social des banques sur Facebook en France (700 000 fans recensés). A ce petit jeu Le Crédit Mutuel s’arroge la première place devant la BNP Paribas et la Société Générale. On y apprend par ailleurs qu’une photo balancée autour de 10h du matin garantirait la meilleure interaction possible. Un classique du réseau mondial qui place finalement les banques françaises au même niveau que les marques. N’est ce pas ce qu’elles cherchent ?

Géolocalisation

Au deuxième jour de la conférence SXSW alors que Al Gore à délivré un plaidoyer pour un internet « libre, indépendant et transparent », Dennis Crowley, CEO de Foursquare, à consacré sa keynote à l’avenir de la géolocalisation. Un paradoxe très mignon lorsque l’on sait combien la géolocalisation tire ses ressources sur la collecte des données privées et le ciblage publicitaire.  Avec ses 30 millions d’utilisateurs et ses 3 milliards de checks – in qui donnent « le poul des villes », Dennis Crowley a souligné combien le croisement de toutes ces informations restaient un formidable support de couponing pour les commerçants. Car si ce marché repose effectivement sur un trésor de guerre de presque 2 milliards $ (Estimations de Berg Insight), il peine pourtant à séduire.

Avec le modèle de deal à la mode Groupon qui a littéralement pourri le lien de confiance commerçant – web et une concurrence mondiale (Apple, Google, Solocal Group – Pages Jaunes) qui pourrait perturber le consommateur sur les outils techniques à adopter, le géoshopping semble mal barré. A ce petit jeu la stratégie du tout mobile des principaux acteurs ne suffira pas. Si le marché décolle aux Etats – Unis sur des actions ponctuelles, la France reste un bastion plus compliqué à séduire. Entre le développement de pratiques équitables avec les commerçants et manipulation des données privées, le prospectus et la publicité locale ont encore de beaux jours devant eux.

Multi – écrans

La social tv avait donc bien flairé l’embrouille. Les Français sont de plus en plus seuls devant leurs écrans. L’avènement du mobile et le sur – équipement de certains foyers ont poussé les consommateur à individualiser le visionnage. Selon l’INSEE, 40% du temps consacré à la télévision s’est effectué en solo chez les + de 15 ans. Contre 25% en 1980.  Ce qui était autrefois consommé et commenté en famille, s’est donc éclaté comme la bulle internet. La faute à Twitter et à ce

multi – écran qui embrasse évidemment la courbe des âges et des classes. Deux valeurs sur lesquelles reposent les tendances. Ainsi les 15/29 ans passeraient un peu plus de 1 heure derrière un PC, quand un ouvrier / employé consacre presque 3 heures à la télé. Moins de 2 heures pour les cadres et professions libérales. La fracture numérique aurait elle encore de beaux jours devant elle ?

Kings of convenience – Misread

[youtube http://www.youtube.com/watch?v=WOxE7IRizjI]

Wifi la fin ?

 

Comment échanger 10 films en Haute Définition en moins de 2 secondes ? Quitte à faire passer le wifi pour une technologie ringarde, le graphène pourrait bientôt apporter une réponse concrète à cette question incongrue. Annoncé comme le successeur du sillicium, cette technologie, 100 à 300 fois plus solide que l’acier, permettrait d’atteindre des flux de 100 térabits par seconde. Si la recherche en est encore à ses balbutiements, l’Europe ne s’y est pas trompé. En claquant 1 milliard € pour les 10 prochaines années, Bruxelles fait un pari fou. Celui d’un produit qui est appelé à devenir « le matériau du XXIème siècle ». Rien que ça.

Facebook le début ?

 

Comme convenu Mark a sacrifié son mercredi pour nous présenter sa nouvelle plateforme Facebook empreinte d’images et de mobilité. L’interface qui n’avait pas vu un coiffeur depuis 2 ans, s’est clairement dégarnie pour repenser la taille des photos.

– Album en diaporama, article avec de larges photographies.

– Augmentation des affichages et donc des interactions.

 

 

 

Pour générer davantage d’interactivité, le « newsfeed » a été repensé dans une architecture proche de celle de Google +.

– Fil d’actualité partagé entre plusieurs onglets pour filtrer les préférences et les envies (Photos, musique, jeux …).

 

 

 

Côté mobile, l’application devrait offrir une expérience similaire avec de nouvelles fonctionnalités.

 

 

 

En attendant la mutation de tous les comptes, les plus enthousiastes peuvent toujours anticiper le changement en s’inscrivant par ici. 

Snapchat

 

C’est le projet X de l’application mobile. Un service de partage de photos éphémères dont les – de 18 ans se nourrissent comme ils réjouissent d’éclater des boutons d’acnée dans un miroir. Il est d’usage d’y proposer une transgression à connotation sexuelle dit « sexter ». Une humiliation ou une régression, que seule la cible pourra voir. Sans enregistrer. Sans sauvegarder. Car au bout de l’échange, le cadeau empoisonné pétera toujours à la tronche du destinataire. En théorie. Car si les photos sont vouées à disparaître, Snapachat ne saurait déjouer l’adage des cuisiniers de la technologie selon lequel : « Rien ne se perd, tout se transforme ». Avec une cible qui commande 1 café pour 10 verres d’eaux et dont les doigts sont vierges de dérapages publicitaires, lever des fonds ne suffira probablement pas. Car si seul les utilisateurs auront droit de vie ou de mort sur Snapchat, l’histoire, même à son ère numérique, a toujours démontré que ce sont les étudiants qui mènent les danses et impulsent les changements. Jamais leurs petites frères.  

Twitter

 

On aurait pu chercher pendant longtemps un argumentaire économique écrit en 140 caractères et puis s’en lasser pour de bon. Longtemps hashtagé #social philanthrope, Twittter va donc s’ouvrir à la publicité pour le meilleur et pour le pire. Fort de ses 200 millions de membres, le site de micro – blogging semble paradoxalement avoir profité des bons résultats publicitaires de son concurrent Facebook petit oiseau bleu(80% du C.A généré par la publicité), pour rassurer les investisseurs. Une bulle nouvelle n’arrivant jamais seule, on annonce déjà un potentiel de 12 milliards $. Voir un « Harlem Shake » en plein coeur de Wall Street, pour une entrée en bourse qui en rappellera d’autres. Si le pourra toujours jouer sur son réactivité aux évènements, il n’en reste pas moins à mesurer le caractère intrusif de la publicité sur une plateforme au format restreint. D’autant plus que sa maniabilité mobile n’est plus à faire. 

Alexis HK

 

Depuis que le HibOO s’est envolé en Bretagne jouer à l’amour et aux filtres de plages, nos oreilles n’ont plus d’ailes pour tutoyer les sons. Y’aura t’il encore de bons Reflex pour filmer Steve Smyth dans son Camping Car crado et assez de zoom pour irradier les sillons de Rebekka Karijord ? Personne ne le sait. Le Big Data nous préserve, il est encore temps d’être nostalgique et de se repasser les vieux 33 tours de l’animal. Entre deux plantes vertes chouchoutées par une gardienne en pantoufles, on peut donc y retrouver un Alexis HK affranchi des commodités télévisuelles. La gratte au fond de la cour et la cour au fond de la gratte, le bonhomme nous livre un truc simple qui pourrait nous iriser la plume. Aillez, le HibOO nous manque. 

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